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Coudroy - De la lecture pour tous au salon du livre

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Création : 20 avril 2023
Mis à jour : 27 mai 2023

Feuilleter un ouvrage tout en conversant avec son auteur, l’occasion était donnée dimanche au salon du livre à la salle Maryse Bastié à Coudroy.

L’événement était co-organisé par l’association Vitalité rurale et la municipalité. Il a réuni une vingtaine d’auteurs où tous les univers (fantasy, poésie, jeunesse, bande dessinée, écrits historiques, polar) se côtoient. La force de cette manifestation organisée par l’association est de faire connaître les auteurs hors des sentiers battus et d’apporter la culture en milieu rural.

Les auteurs ont été cocoonés à la salle des fêtes de ce petit village au bord du canal d’Orléans. Le salon du livre offre de belles escapades culturelles et intellectuelles pour des moments à vivre aussi en famille. Et pour la petite information qui flatterait la plume d’auteurs en devenir, la maison d’édition l’Andriague organise avec le soutien de la municipalité de la ville de Lorris le prix Guillaume de Lorris. Ce prix couronnera un manuscrit de roman inédit et le lauréat sera récompensé par la publication de son œuvre à compte d’éditeur par les éditions l’Andriague.

Le jury constitué de personnes appartenant à l’univers du livre est présidé par le sénateur Jean-Pierre Sueur. Ce prix littéraire sera décerné le 25 novembre. Les futures plumes désireuses de participer au prix Guillaume de Lorris ont jusqu’au 15 juin pour envoyer leur production.

Contact. Prise de connaissance du règlement et bulletin d’inscription et renseignements Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Lien vers l'article de Le République du Centre

Montmorillon : les Rencontres d’artistes retrouvent leur public

Détails
Création : 11 avril 2023
Mis à jour : 20 avril 2023

Les rencontres sont l’occasion de discuter avec les artistes présents.
© Photo NR

L’Espace Gartempe de Montmorillon a ouvert ses portes, ce samedi 8 avril 2023, aux Rencontres d’artistes, après trois ans d’absence. Une trentaine de peintres ont exposé leurs œuvres au public venu en nombre.

 

Après trois années d’interruption, les Rencontres d’artistes ont retrouvé l’Espace Gartempe pendant toute la fin de semaine de Pâques. Après les scolaires jeudi 6 et vendredi 7 avril 2023, le salon a été officiellement ouvert samedi matin par Bernard Blanchet, maire de Montmorillon.

Celui-ci a remis, comme le veut la tradition, la médaille de la ville à l’invité d’honneur de la 22e édition, Michel Lebrun Franzaroli, peintre venu de Concrémiers, dans l’Indre.

Le maire de Montmorillon, Bernard Blanchet, a remis la médaille de la ville à Michel Lebrun Franzaroli.
© Photo NR

Les amateurs se sont pressés en nombre tout au long du week-end pour admirer les œuvres d’une bonne trentaine de peintres, mais aussi de sept sculpteurs et cinq photographes.

« L’esprit reste le même »

Patrice Bouleloup, ancien adjoint à la culture qui avait été à l’origine de la création en 1999 de cet important événement culturel, s’est félicité de sa reprise. « C’est bien que cela soit relancé, a-t-il confié. L’esprit reste le même, chaque artiste a son stand, ce qui plaît à la fois aux artistes mais aussi aux visiteurs. »

Même motif de satisfaction pour André Pailler, l’un des membres d’origine du comité d’organisation : « Le souhait des fondateurs est respecté, faire de cet évènement une véritable rencontre entre les artistes et le public, et pas seulement les initiés. »

Une trentaine de peintres exposaient leurs œuvres ce week-end.
© Photo NR

Un stand avait d’ailleurs été mis en place pour rappeler la mémoire de certains artistes disparus, notamment Michel Vallier. Gérard Ollivier, qui avait pour sa part conçu à l’époque la scénographie des œuvres exposées (des stands en croix pour isoler le regard sur les œuvres d’un seul artiste à la fois), disait de lui qu’il était « un peintre de grand talent, trop discret mais attentif aux autres ».

De nouveaux artistes

L’édition 2023 a été aussi marquée par la présence de nouveaux artistes, tel Jean-Claude Bertrand, originaire de Champniers, artiste autodidacte venu tard à la peinture, mais dont les œuvres sont empreintes de grande force et de grande maturité.

Jean-Claude Bertrand est l’un des nouveaux artistes de cette édition 2023.
© Photo NR

Il sera d’ailleurs l’invité d’honneur de la prochaine exposition organisée au mois de novembre par la Palette clairvalloise à Scorbé-Clairvaux. « J’étais venu à Montmorillon comme visiteur il y a quatre ans, mais c’est la première fois que j’expose, a-t-il témoigné. Ces rencontres sont parmi les plus beaux salons de la région. »

Article publié dans la nouvelle République le 10/04/23

ALEXIS CHARTRAIRE OU LA DIFFICULTÉ DE VIVRE DE SON ART

Détails
Création : 22 février 2023
Mis à jour : 13 mai 2023

Article complet sur : https://letaiseux.fr/alexis-chartraire

Merci à Estelle Caumartin

Ancien « banlieusard » passé par Fresselines, Alexis Chartraire vit désormais à Pouligny-Saint-Pierre, au cœur de la Brenne. Après s’est découvert une fibre artistique sur le tard, le romancier-peintre se trouve aujourd’hui confronté aux réalités d’un marché difficile d’accès sans pour autant accepter de se compromettre.

Alexis Chartraire préfère déposer un voile de pudeur sur sa première vie et ne pas en confier les détails. Ancien informaticien, ce romancier-peintre âgé de 58 ans, « au parcours atypique, autodidacte en tout » n’a pas choisi entre les deux arts qui l’attiraient et mène une double carrière mêlant l’écriture et la peinture depuis 2008. Fier de publier prochainement un troisième roman, ses tableaux sont exposés en galerie à Paris et à Barbizon. Mais derrière cette façade de projets, un sujet tourmente l’artiste depuis quelque temps malgré l’amour qu’il porte à son activité : « Les artistes ont du mal à vendre et les romanciers doivent écumer les salons du livre pour exister », annonce-t-il.

Entre reflets et couleurs

« Je ne suis pas un artiste du sérail. J’ai un parcours d’autodidacte. J’étais informaticien, je viens d’un autre monde et j’ai découvert qu’on pouvait peindre. Mes parents étaient simples mais m’ont donné des livres, m’ont appris l’importance de la lecture, ont cherché à développer ma curiosité, m’ont poussé à me cultiver. […] C’est une chance de pouvoir se lancer dans la peinture. En 2012, j’ai voulu me professionnaliser pour avoir plus d’exigences. Mais il est très difficile d’en vivre », retrace Alexis.

Arrivé à Fresselines, en Creuse, après avoir fermé la porte sur la première partie de sa carrière, il découvre « par hasard » ce village au patrimoine artistique fort et aux paysages inspirants : « C’est le village qui nous a choisis. J’y ai peint les reflets de l’eau que j’avais découverts dans l’œuvre de Monet. C’est un sujet infini, les reflets évoluent. Il faut inventer, créer un langage. Ce n’est parfois même pas clair dans la tête et il m’arrive d’être surpris du résultat… », décrypte-t-il.

Un marché bouché

Le peintre se passionne ensuite pour Maurice Rollinat et fréquente le Cercle des beaux-arts au moulin du Rabois à Argenton-sur-Creuse pour peaufiner sa technique. Les premières expositions arrivent, les premières ventes aussi et plus récemment, les premières déconvenues. Alexis Chartraire chemine, s’interroge, explore les contradictions du marché sans parvenir à se fixer sur une solution ou un début de réponse : « Il y a beaucoup de concurrence avec les amateurs en peinture et en sculpture, et une concurrence déloyale dans les métiers artistiques à cause des charges qui ne sont pas les mêmes selon le statut. Il y a quelques années, c’était rentable mais aujourd’hui, les ventes sont rares, mêmes lors des vernissages. Il n’y a pas ce public de collectionneurs, les touristes investissent moins. Le marché n’est plus là, il s’est ratatiné. Le problème c’est que l’art d’aujourd’hui est comparé à des choses qui ont une très grande valeur, réalisées par des artistes morts depuis une centaine d’années. […] Il y a des galeries au niveau économique proche de 0, qui ne font pas une seule vente dans un mois. »

Les galeristes peinent peut-être à vendre mais Alexis pointe un paradoxe qui sanctionne l’artiste dès le début de sa carrière : « Il faut paraître, faire tel et tel salon. Les prix jouent aussi, ça ne change pas le peintre mais ça rassure les gens. […] On va être obligé de payer avant d’avoir vendu quoi que ce soit. C’est pareil en musique. On est dans un monde curieux, on met en avant la culture et en parallèle, 90 % des acteurs sont obligés de participer financièrement. C’est un travers étrange… […] Les expositions sont payantes, les droits d’inscription sont très élevés et les places parfois peu intéressantes quand on n’est pas renommé. Il ne faudrait pas se disperser, un agent artistique permettrait d’éviter ça mais ils ne s’implantent pas ici. »

Pour autant, Alexis Chartraire ne souhaite pas remettre en question son style, situé entre le réalisme et l’art abstrait : « Après la mode de l’art abstrait, le figuratif revient, mais je peins indépendamment de ce qui va plaire ou se vendre même si j’écoute ce que disent les gens dans les expos. »

Le pinceau puis la plume

En 2018, Alexis Chartraire publie Cavalcade, un ouvrage portant sur la vie du peintre Théodore Géricault. « J’ai mis plus de quatre ans à sortir Cavalcade entre le cheminement, l’écriture, l’édition. Il y avait de l’intérêt, j’ai eu beaucoup d’échanges par mail avec des lecteurs à ce sujet. Je n’ai pas eu besoin de romancer la vie de Géricault. […] On apprend, la méthodologie change. Pour les tableaux, je prends des photos avant de peindre. Pour les livres, j’écris un scénario avant de les rédiger. […] C’est un monde merveilleux la création, un vrai plaisir. C’est extraordinaire de créer de ses mains… Cavalcade m’a ouvert une boîte de Pandore. Le deuxième livre a été plus difficile à écrire. J’ai été obligé de me réinventer. Je suis autodidacte mais je ne pense pas qu’il pourrait y avoir une formation à l’école pour écrire un livre. En revanche, il faut une bonne base », confie-t-il.

Le monde littéraire, qui croule sous le nombre des publications, n’est pas épargné par les difficultés rencontrées par les artistes peintres. Alexis Chartraire est là encore, revenu de ses illusions. Il admet : « Dans les livres aussi c’est difficile de se faire une place. L’auteur a besoin de notoriété. Il faut des années avant de percer un peu, ça apprend l’humilité et la patience. […] Le problème du roman, c’est qu’il faut trouver un financement puis mettre en valeur le livre, notamment dans les librairies. Mais il y a un renouvellement excessif et celles-ci sont saturées car trop petites. […] Il y a beaucoup de créativité et c’est génial, mais les auteurs ne trouvent pas leur public. »

Iconographie chrétienne

Il y a peu, le romancier-peintre semblait avoir besoin de prendre de la hauteur et de s’éloigner de ces considérations économiques. Après avoir suivi une formation en iconographie auprès d’un prêtre orthodoxe durant deux ans, Alexis Chartraire poursuit aujourd’hui son apprentissage avec un maître iconographe. Là aussi, la pudeur est de mise et la porte semble infranchissable. « En iconographie, on ne peut pas faire une œuvre parfaite, la seule œuvre parfaite c’est celle de Dieu. On apprend la place du peintre, l’humilité… Il n’y a pas de place pour signer », conclut-il.

La discipline permettra peut-être au peintre d’accéder à un certain apaisement et finalement d’accepter qu’épouser une carrière artistique, c’est aussi risquer d’embrasser le dénuement le plus complet. ■

Loudun : le livre garde ses passionnés

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Création : 29 novembre 2022
Mis à jour : 4 janvier 2023

Aux Éditions Maïa, Alexis Chartraire innove avec du crowdfunding. © Photo NR

Dimanche, le Salon du livre a accueilli moins d’exposants que l’année dernière. Pour autant, l’attachement du territoire pour l’écrit reste fort.

Dimanche 27 novembre, se tenait l’édition loudunaise du Salon du livre. Douze exposants étaient réunis sous les voûtes de la Collégiale Sainte-Croix. Des livres anciens aux livres à paraître, une pluralité d’ouvrages était proposée aux visiteurs attendus dans la journée.
 
« Il y a vingt ans, le salon était archi-plein » Si Patrick Blotière, président de l’association Broc en Loudunais et organisateur du salon, regrette la situation du livre, « en perdition », il se réjouit que des bouquinistes et des auteurs soient venus de Bellac (87), du Blanc (36), d’Orches ou encore de Châtellerault. Ce Salon du livre neuf et ancien comptait seize exposants l’an passé, il en comptait douze cette année, ce qui pousse Patrick Blotière à réfléchir à un projet futur d’organiser un événement dédié aux affiches, aux gravures et aux dessins « pour amener un public plus jeune ».
 
Sur son stand, Christophe Civial exposait ses livres anciens du 16e au 18e siècle, dont la plupart arborent des couvertures en vélin. Le plus ancien est un ouvrage en latin d’Ovide, Les métamorphoses, dans son édition de 1541. Le plus précieux est un ouvrage Du Pinet, Historia plantarum, dans son édition colorisée à la main de 1561. Libraire ancien à Basses, Christophe Civial se déplace beaucoup et loin pour dénicher des éditions rares. « Il y a vingt ans, le salon était archi-plein. C’était un salon du livre ancien. Aujourd’hui, parmi les bouquinistes, je suis le seul à ne faire que du livre ancien. »
 
Des livres à paraître Sur d’autres stands, aux côtés de Suzanne Ravinet, qui publie son quatrième ouvrage, ou de Nicole Buresi, qui présentait ses livres et ses ouvrages pour la jeunesse, de nouveaux auteurs démontraient que le livre résiste. Le peintre et romancier Alexis Chartraire publie en novembre 2022 son troisième livre, Les feux de la Saint-Jean, son deuxième polar. Les Éditions Maïa qui le publient à compte d’éditeur ont recours au financement innovant du crowdfunding pour permettre sa diffusion la plus large en librairie.
 
De l’édition ancienne aux nouvelles éditions, le salon de Loudun peut s’enorgueillir de rassembler chaque année des passionnés, preuve de la diversité de l’offre culturelle.
 
Paru dans la Nouvelle République du 28/11/2022 
idem dans Centre Presse

Queaux - « Chemin de l’Envol » à Chamousseau

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Création : 28 novembre 2022
Mis à jour : 28 novembre 2022
Clara Maréchal, Corinne Pignoux et Manon Dubreuil (de droite à gauche).
© (Photo Ève Pallier)
 
Samedi 17 septembre, à l’occasion des Journées du patrimoine, le château de Chamousseau a ouvert ses portes aux visiteurs et a proposé, en fin d’après-midi, un spectacle intitulé Chemin de l’envol. Trois voix pour des mots avec les poésies de Clara Maréchal, les contes de Corinne Pignoux et les chants de la soprano Manon Dubreuil, dont c’était la première prestation sur scène. « Le public a eu une belle écoute et a réagi jusqu’à chanter un moment avec moi, appréciait cette dernière. Il a été touché par les poèmes de Clara car sa plume est fine et les thèmes qu’elle aborde sont profonds. Les contes de Corinne ont fait voyager. Dans ce lieu historique, ils ont apprécié le mélange des modes d’expression artistiques. »
 
Visites du château de Chamousseau et de l’exposition de peintures d’Alexis Chartraire le samedi à 15 h et sur rendez-vous au 06.89.29.13.05, contact@chateaudechamousseau.f et Facebook : Château de Chamousseau, un passé au futur.
 
Lien vers l'article publié dans la Nouvelle République le 24/09/2022

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Alexis Chartraire

Romancier et peintre

06 78 09 97 30
alexis.chartraire@gmail.com

  

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